Pas de justice : le bullying donne toutes les qualités sociales
c'est du moins ce que disent ces deux résumés d'articles universitaires :
Le bullying c'est le pouvoir : implications pour les interventions basées dans les écoles
Tracy Vaillancourt, Shellez Hymel, Patricia MacDougall, 2008
Cette étude examine les différents sous-types de bullies, distingués par rapport à leur pouvoir social, certains d'entre eux caractérisés par l'image traditionelle du bullie mal acceptés, troublés psychologiquement, membres marginals du groupe et d'autres qui montrent un ensemble bien plus positif de caractéristiques sociales et qui ont ont un haut statu social parmis leurs pairs. Sur un échantillon de 555 étudiants canadiens de grade 6 à 10 (à peu près de 12 ans à 16 ans) , les associations entre bullying, pouvoir, et statut social ont été examinés, ainsi que la variabilité par rapport aux caractéristiques comportementales adoptées ou pas, la perception de soi-meme et la santé mentale. La citation par les pairs a été utilisée pour évaluer le bullying, le status social, l'agressivité du comportement, les compétences et atouts, et les entretiens individuels ont été utilisés pour évaluer la perception sociale de soi-meme et les difficultés intériorisées. Les résutats ont montré qu'un nombre important de bullies étaient aussi considérés comme étant popuaire et ayant du pouvoir, avec des qualités, compétences et atouts de leader. Dans leur prcepetion d'eux-meme au niveau social, ils rapportaient se sentir bien à propos d'eux-meme et de leur interaction avec les autres. Additionellement, les bullies avec du pouvoir étaient vus comme montrant plus de de compétences et de qualités comme etre attractif physiquement, porter des vetements stylés, et etre des bons athlètes.
La relation entre l'intelligence sociale, l'empathie et trois types d'agression.
Ari Kaukiainen et al, 1999
La relation entre l'intelligence, l'empathie et trois types de comportement agressif ont été étudiés. Des techniques d'estimaton par les pairs ont été utilisées pour mesurer les principales variables. En tous, 526 étudiants finlandais de trois groupes d'age (10, 12 et 14 ans) ont participé à l'étude. Comme hypothétisé, l'agression indirecte est corrélée positivement et significativement à l'intelligence sociale dans les trois groupes étudiés. Les formes physiques et verbales d'agression avaient presque zéro corrélation avec l'intelligence sociale. L'empathie est corrélée négativement et significativement avec chaque type d'agression à l'exception de l'agression indirecte chez les adolescents de 12 ans. Les principales découvertes sont en accord avec la thérie du développement de Bjorkavist et al (1992) suggerant que les formes d'agressions indirectes requierent plus d'intelligence sociale que les formes d'agression directes.